La forclusion est une négation catégorique. Elle s’inscrit dans une logique du tiers exclu. Pour une telle logique, toute proposition est vraie ou fausse, c’est oui ou c’est non, c’est à l’intérieur de la vérité ou à l’extérieur.
En parlant de forclusion du Nom-du-Père, nous sommes nécessairement confrontés à une telle logique catégorique du tiers exclu. Pourtant la « forclusion du Nom-du-Père » peut vouloir dire deux choses fort différentes : un jugement forclusif a été émis dans le processus de la psychose, le psychotique a forclos le « Nom-du-Père » ; c’est le sens freudien de la Verwerfung, par exemple dans l’homme aux loups : le petit garçon avait bien vu la castration de sa mère à l’âge d’un an et demain, mais il rejette cette perception : « c’est pas possible…, je dois avoir mal vu, son zizi était sans doute caché, mais elle en a bien un ». Dans la forclusion lacanienne, le psychotique a rejeté le signifiant du Nom-du-Père, ce jugement d’exclusion a été émis. Il est évident que le psychotique peut se tromper comme le petit homme aux loups se trompait évidemment à propos du sexe de sa mère.
Le psychiatre, le psychanalyste ou le psychopathologue, représentant du savoir psychologique, émet le jugement : il est exclu que le psychotique ait à sa disposition le « Nom-du-Père ». Le savoir est ici supposé ne pas se tromper ; il dit la vérité.
Quelle interprétation donner à la forclusion ?
Le texte de 1958 est catégorique – c’est le cas de la dire –, le Nom-du-Père est « verworfen, forclos, c’est-à-dire jamais venu à la place de l’Autre » (p.577). C’est comme ça, ça ne se discute pas. Il y a une vérité qu’on ne peut remettre en question et sur laquelle est basée toute la clinique psychanalytique. Avant tout traitement psychanalytique, il faut se poser la question : avons-nous la structure suffisante pour entamer une cure ? Avons-nous, chez le patient, le matériel pour le traitement ? Sinon c’est absolument inutile et mieux vaut envisager un traitement qui n’est pas psychanalytique.
Autrement dit avant tout, il faut se poser la question préliminaire, c’est-à-dire la question du diagnostic : est-il psychotique ou est-il névrosé ?
Dans ce sens, le psychotique serait caractérisé par la déstructuration fondamentale de ce que c’est qu’un être humain, suivie par une tentative de structuration de compensation bricolée avec les épaves de la catastrophe.
À la suite de Lacan, il est possible de s’engager à dire : le psychotique n’a pas la pièce fondamentale qui fait tenir le schéma fondamentalement humain qu’est le schéma L, le schéma de tout parlêtre. Il n’a pas le Nom-du-Père qui donne la consistance au grand Autre. En conséquence de quoi, il est sans grand Autre véritable, hors langage, hors discours, il n’est pas question d’objet a, il n’est pas vraiment sujet, il n’y a pas de métaphore véritable, etc. Avec cette absence radicale du signifiant fondamental, il n’est pas dans le signifiant. Les déficits s’accumulent. Et le psychotique ne trouve de planche de salut qu’en bricolant des substituts qui ne trompent pas le sérieux du « psychanalyste » qui sait faire la différence, le diagnostic différentiel. Tout ce qui paraîtrait relever de la structure de l’être parlant, du parlêtre n’est chez lui que semblant de signifiant, discours emprunté, ombre de sujet, délire plutôt que métaphore, langage appris ; bref, nous n’avons affaire, pour parler Schreber, qu’à des « hommes bâclés à la six-quatre-deux ». Le bricolage peut être ingénieux – cf. les génies psychotiques – il n’en reste pas moins que pour ce qui concerne la structure de l’être parlant, c’est loupé.
La question préliminaire se résume ainsi : l’individu qu’on prendrait en analyse est-il oui ou non à flot, plongé dans la structure du parlêtre ? « Car user de la technique que Freud a instituée, hors de l’expérience à laquelle elle s’applique, est aussi stupide que d’ahaner à la rame quand le navire est sur le sable » (dernière phrase de la question préliminaire, p. 583).
La question préliminaire trouverait ainsi sa réponse : on ne prend pas des psychotiques en analyse, ça n’a pas de sens. On les traite autrement, avec compassion.
Lacan nous aurait appris ce diagnostic différentiel, condition préliminaire indispensable à toute approche psychanalytique, et il n’aurait pas changé d’avis jusqu’à la fin de sa vie. Notamment dans L’étourdi : « Le dit schizophrène se spécifie d’être pris sans le secours d’aucun discours établi » (AE p.474), il est vraiment hors du coup. Lacan parle explicitement de « l’hors-discours de la psychose » (AE p.490). Le psychotique est hors discours, il est donc exclu qu’il puisse s’inscrire dans quoi que ce soit du discours psychanalytique. L’affaire est jouée, la messe est dite.
La signification de la question préliminaire semble ainsi bien claire, bien univoque.
Pourtant il faudrait lire le texte, dans le détail, et suivre la structure même de L’Étourdit.
Et tout d’abord « qu’on dise reste oublié derrière ce qui se dit dans ce qui s’entend » (AE p.449). Le psychiatre qui aurait diagnostiqué une psychose ou une forclusion du Nom-du-Père ou un hors discours a bien entendu la question préliminaire. Mais où est passé l’acte de son dire ? Il est disparu derrière ce qui se présente comme la vérité, la vérité épaulée par un relent de scientificité.
La vérité, comment la situer ?
Dans le schéma L, elle est d’abord la correspondance entre le moi et ses objets, elle est la relation imaginaire entre la chose dont on parle (ici le psychotique) et ce qu’on en dit (qu’il y a forclusion du Nom-du-Père). Le psychiatre ne peut pas jouer ici le rôle du grand Autre. Bien sûr, il tente de s’y mettre, n’a-t-il pas la vérité ? La vérité parle, mais elle n’est pas l’Autre pour autant.
La question préliminaire de L’Étourdit c’est de faire ressortir le dire à travers les tours du dit. N’est-ce pas précisément la question préliminaire du texte de 1958 ? Plutôt que de s’attarder à des conceptions constats de la psychose (il fait une projection, c’est une hallucination, etc., et maintenant il a une forclusion, il est hors discours) il s’agit de rentrer dans le processus du dire qui a mené à la reconstruction de la réalité. Il s’agit de comprendre la fabrication de la réalité telle qu’elle se joue tout à la fois chez le névrosé et chez le psychotique. Car c’est le schéma L qui conditionne le schéma R et le schéma I, de par la force du dire, du signifiant en acte, de la puissance créatrice inhérente à l’Autre. C’est le dire, qui est central chez le psychotique aussi bien que chez le névrosé. Il s’agit de poser la question du dire, c’est la question préliminaire en 1958 comme en 1972. Et il est évident qu’on ne peut aborder la question du dire chez le psychotique en le plongeant dans les schémas préformés d’une doctrine psychanalytique réduite à des dits et entendus construits à partir de la névrose.
Il faut déterrer le dire.
Le schéma I le fait déjà : c’est le dire de la psychose qui reconstruit la structure à partir du signifiant lui-même, à partir de I. Le dire du signifiant à l’état pur.
La question en reste là en 1958. On ne peut s’engager dans la question du transfert avant d’avoir dégagé ce dire.
Je voudrais maintenant esquisser très brièvement une lecture de L’Étourdit qui permet de comprendre comment la question préliminaire est prolongée dans cet écrit.
Le rôle de l’analyste la place de l’ab-sens les formules phalliques de la sexuation et leur explication par Schreber la topologie des surfaces (et la reprise de la question de la réalité) un discours qui n’est pas établi (et la question du dit schizophrène) l’interprétation comme reprise de l’interprétation propre à la psychose.
Le rôle de l’analyste
Lacan n’a cessé de mettre l’analyste sur la sellette. L’analyste n’est pas celui qui sait : le supposé savoir est bien plutôt un supposé qui met le savoir au travail et qui s’avère savoir ignorer ce qu’il sait. L’analyste n’est pas non plus un témoin : celui qui dirait ce qu’il y a. C’est le médecin qui dit ce qu’il y a. L’analyste qui dirait ce qu’il y a – voilà de quoi vous souffrez, voilà la forclusion du Nom-du-Père – réalise ce que Lacan appelle l’inceste du dire et du dit.
Qu’est-ce que ça veut dire ?
Nous sommes plongés dans le mouvement du dire avant même que nous puissions nous apercevoir des dits et entendus. Cependant, ceux-ci recouvrent le mouvement du dire. Ainsi le cas évoqué dans La question préliminaire, ne nous donne d’abord à entendre que l’hallucination « truie », c’est le dit ; et l’entendu serait « c’est une projection » ou « une réponse de la bergère au berger », elle imagine que le voisin est un cochon, etc. Qui veut tenir compte du signifiant comprendra que « truie » n’est venu que dans un mouvement de dire antérieur au dit lui-même. Ce dire n’est pas l’action portée par un parleur, mais bien le mouvement du signifiant en lui-même à plusieurs voix.
Le psychanalyste qui pense pouvoir dire ce qu’il y a est toujours déjà en train de court-circuiter la structure du signifiant, celle qui implique la place du dire généralement oublié. Voilà que le psychanalyste perd sa contenance, sa consistance.
Certes, Lacan dira qu’il tient la place de semblant d’objet a. Plus précisément le déchet. C’est pas très rose.
Si le psychanalyste tient cette place, il est exclu qu’il soit la personne exceptionnelle qui pourrait fonder le grand Autre, il est exclu qu’il puisse tenir le rôle de Nom-du-Père, sinon par défaut et par un défaut radical.
Le psychiatre qui croit pouvoir combler la faille du psychotique, le Dr Flechsig pour Schreber, doit être exclu, forclos.
La forclusion du Nom-du-Père serait ainsi la mise en place du trou dans le champ du grand Autre. Lacan le notera S de grand A barré.
Pas de rôle qui tienne pour le psychanalyste.
La place de l’ab-sens
Comment tenir la structure freudienne ? Comment retrouver le dire de Freud et pas seulement des dits et entendus dans ses Oeuvres complètes et les commentaires qui s’en suivent ?
Le dire de Freud (on est bien dans la question préliminaire) « nous met sur la voie de ce que l’ab-sens désigne le sexe » (AE p.452). L’ab-sens c’est l’arrêt du sens, la panne du signifiant. Quand les associations libres s’arrêtent, silence, c’est là qu’intervient précisément le transfert, le transfert dans sa dimension sexuelle au sens large. L’ab-sens désigne le sexe : l’arrêt des associations désigne le transfert. Comment se présente cette absence ? Par l’impossibilité sous toutes ses formes. « Il n’y a pas de rapport sexuel ». Chaque fois que ça ne va pas, que c’est impossible, on est confronté au sexe. Et chaque fois qu’il est question de sexe, c’est impossible, ça ne va pas.
Tout ça implique le père, à proprement parler impossible. Et le phallus.
Toujours, la place de la métaphore paternelle est là.
Et Lacan cite la question préliminaire : « Car c’est dans la “question préalable” de mes Écrits, laquelle était à lire comme la réponse donnée par le perçu dans la psychose, que j’introduis le Nom-du-Père » (AE 458) et cela permet d’ordonner la psychose elle-même, on peut mesurer la puissance du Nom-du-Père. Ce dernier a la puissance d’ordonner même la psychose, qui dépend donc du traitement de la question du Nom-du-Père.
Être ou avoir le phallus n’est d’ailleurs que la fonction de suppléer à l’impossible, à l’absence de rapport sexuel. On peut lire à l’impossibilité inhérente à l’Autre, au trou dans l’Autre mentionné dans le graphe. Donc tout est phallique : pour tout x phi de x.
À cette conception phallique, Lacan rajoute : il faut qu’il y ait quand même le point fixe, l’exception hors phallique pour faire tourner l’affaire. Il faut un sujet où la fonction phallique fait forfait (AE p.459). On peut y lire le trou dans le sujet, le trou du phallus. La question est structurelle. Mais où Lacan l’a-t-il trouvée ?
Dans Schreber (AE p. 460)
Les formules phalliques de la sexuation
On a vu comment la fonction du phallus est la fonction de suppléance au manque radical, au trou radical. Et ça, c’est la psychose qui le montre, comme Lacan vient de l’affirmer.
Tout est phallique, tout est suppléance en fonction d’un trou primordial, du réel primordial. Et ce tout phallique (qu’on peut traduire par tout est ouvert à la relance) suppose un sujet qui fasse exception. Il existe un x non-phi de x. Cette question du sujet est celle que Lacan a trouvée chez Schreber, dans le séminaire III et dans la question préliminaire.
Outre ces deux premières formules, il y a les deux formules « féminines ».
Comment introduire ? Ce ne sont pas simplement les femmes qui sont concernées.
L’effet de pousse à la femme, que Lacan rapporte à la psychose (nous l’avons vu dans la question préliminaire) se spécifie par le quanteur qui concerne l’existence.
Il faut qu’il existe un x non phi de x. Il faut qu’il existe un Nom-du-Père pour soutenir le fonctionnement de l’Autre.
« C’est de l’irruption d’Un-père comme sans raison, que se précipite ici l’effet ressenti comme de forçage, au champ d’un Autre à se penser comme à tout sens le plus étranger » (AE p. 466). Nous retrouvons la doctrine du déclenchement de la psychose : la survenue d’un père réel. Mais il est présenté ici comme « sans raison » ; le père est toujours sans raison (c’est bien pourquoi il est présenté comme impossible dans le séminaire sur l’Identification). Autrement dit, c’est toujours que la condition du déclenchement de la psychose doit se présenter à l’occasion d’un père.
Mais cette condition est précisément donnée comme ce qui va faire passer des formules masculines aux formules féminines : « il existe un x non-phi de x » est une position intenable (cf. « Dieu est mort » dans l’Éthique et c’est qu’il n’a jamais existé, que sa position est usurpée) : donc « il n’existe pas de x non phi de x ».
Il ne s’agit pas simplement de deux positions contradictoires oui et non, comme on dirait il y a Nom-du-Père ou il y a forclusion du Nom-du-Père. Au contraire, c’est à partir de l’audace de (se) poser l’exception qu’il apparaît que c’est intenable et : il n’y a pas d’exception qui tienne (forclusion de l’exception) qui n’est autre que la première formule féminine.
Conséquence : la première formule fait éclater les frontières du phallique, le tout phallique ne vaut que pour celui qui l’a posé. Mais il s’ouvre au-delà les frontières d’une réalité qui était par trop cernée phalliquement. C’est le remaniement complet de toute la réalité comme nous l’a enseigné le schéma I.
La topologie des surfaces
Les choses sont traditionnellement bien réparties : il y a l’intérieur et l’extérieur et c’est par là que s’explique la conception traditionnelle de la psychose (après Freud : la projection). Avec le pastout, les frontières éclatent, la frontière instaurée entre un intérieur et un extérieur ne vaut plus. Je découvre dans un lapsus, dans un rêve ou même dans une rencontre extérieure ce qui m’est le plus intime. Unheimlich dit l’intimité qui apparaît comme foncièrement étrangère.
Le schéma de la réalité tel qu’il est présenté dans R ne peut suivre le modèle d’une surface bilatère.
Comment concevoir la communication de l’intérieur avec l’extérieur ? C’est la grande question de la topologie.
Avec cette transformation, les choses bien établies vacillent : l’intérieur devient extérieur et réciproquement. Trois discours sont parfaitement établis.
Un discours qui n’est pas établi
Toute l’opération de l’analyse consistera à déstabiliser chacun de ces discours établis. Et c’est dans ce sens que Lacan dit « le dit schizophrène se spécifie d’être pris sans le secours d’aucun discours établi » (AE 474). Il est sur la bonne pente. Il va dans le sens d’un discours de déstabilisation, c’est-à-dire du discours psychanalytique. Lacan continue d’ailleurs directement « J’ai la tâche de frayer le statut du discours psychanalytique ».
Faudrait-il penser que le schizophrène ferait un bon analyste ?
Lacan parle du « dit schizophrène » ; ce n’est pas un individu, mais un dit, un dit perdu, en quête du dire. C’est le mot du schizophrène, celui qui joue sur le signifiant sans s’accrocher à la chose. La représentation de mot de Freud qu’il faut mettre du côté de l’inconscient.
Où va-t-il ?
D’une part, il subvertit la structure en la ramenant à l’unilatéral.
D’autre part, les repères filent à l’infini parce qu’ils sont absolument inatteignables comme l’a démontré le schéma I.
Il s’agit de mettre en évidence le trou qui va plus loin que l’ambiguïté de la signification telle qu’on le rencontre dans le signifiant. Le trou fait sens. Ce sens est révélé par les tentatives de border si pas de combler le trou comme on l’a vu dans le schéma I.
La névrose se spécifie par le bouchage des trous (AE 487).
L’interprétation
Que fait la psychanalyse ? Elle cherche le dire, le mouvement du dire irréductible aux dits et entendus. Et ce n’est pas le parleur qui va l’aider. Il s’agit du dire de l’inconscient avec un auteur qui n’est qu’hypothétique, une idée pour servir à penser.
L’interprétation en psychanalyse n’est pas autre chose que cette mise en exercice du dire et cela ne peut se faire que par l’équivoque du signifiant et le travail qu’elle demande : équivoque homophonique (même séquence de phonèmes pour deux significations différentes, voire opposées), équivoque grammaticale (même lettre pour deux porteurs de la lettre différents, pensons à la lettre volée), équivoque logique (même logos pour arriver à deux positions incompossibles, contradiction, incomplétude, indémontrabilité). L’interprétation ne résout pas ces équivoques, elle le parcourt. On ne va pas dire quelle est la signification unique de l’homophonie, qui a porté la lettre, quelle position logique il faut choisir. L’interprétation ne peut que refaire, faire le double tour de ces équivoques. C’est la définition de l’interprétation. Et c’est la définition du discours psychanalytique. Il ne fait en cela que renommer l’interprétation que l’on retrouve dans l’oracle et l’hors-discours de la psychose (AE. p.490). Car c’est lors du discours qu’apparaît la psychose, le dit schizophrénique qui ne s’inscrit pas dans un discours établi. Il reste dans l’équivoque et il est impossible de le stabiliser. Toute tentative de le fixer provoque la réaction inverse. Il ne peut être apaisé de l’extérieur.
Et Lacan termine son écrit par la mention de Schreber (AE p 494), implicitement par sa question préliminaire. Freud a eu besoin des Mémoires de Schreber pour trouver la structure. Lacan démontre la structure à partir de la psychose. Ce n’est pas la psychose qui est déficitaire par rapport à la structure. La psychose peut d’elle-même nous donner l’intégralité de la structure.
« Mauvaise lecture de mon discours sans doute » – la lecture proposée est partiale, non fidèle – « c’en est une bonne : c’est le cas de toutes : à l’usage » (AE p 494). Qu’est-ce que vous ferez de la lecture de la question préliminaire, de l’interprétation de la question préliminaire ? Pour votre analyse personnelle, votre travail d’interprétation en tant qu’analysant ?
Christian Fierens, Naples 28 mai 2011
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